Who's BJO?

Auto-portrait ¤ 2013-07 13
[Fr]

[En]

Je suis tombée amoureuse de la langue de Baudelaire à mes 16 ans, et depuis quelques années, ma plume lui fait des infidélités éhontées avec celle de Byron. Mes Suites de mots épousent souvent la forme d'un poème ou d'une nouvelle, quand elles ne flirtent pas avec les deux à la fois.

I fell in love with French, my Mother-tongue, at age 16 and for a few years now, my pen has been committing brazen infidelities to her with English, my "Heart-tongue". My Series of words often hug the shape of a poem or of a short story, when they're not flirting with both at once.
Pour la petite anecdote, après un premier poème écrit et refusé pour 'plagiat supposé' par mon prof de Français en 6ème, Je n'ai repris la plume qu'à la découverte de Baudelaire et de son sonnet « A une passante » en 1ère. Sous l'incitation de mon prof de Français à me libérer des normes académiques de l'écriture, j'ai peaufiné mon style au fil des ans.

A la fois créatrice en Suites de mots et en Tissus de pixels, j'ai pointé l'objectif la première fois en 2010 avec mon téléphone portable du moment, un Samsung GT-S5620. Depuis fin 2011, je me régale avec mon Nikon Coolpix P500.

De mon vrai nom, je suis traductrice littéraire et fais mon mémoire de M1 d'anglais sur l'auto-traduction, entre autre, de la première partie de Rêve... 
 For the record, after a first poem rejected by my 6th Grade French Teacher, I used my pen again only at the discovery of Baudelaire and his sonnet "A une passante" during 11th Grade. Influenced by my French Teacher to see beyond the writing academic standard, I've been improving my writing touch over the years.

Both Series of words & Fabrics of pixels designer, I first aimed a lens in 2010 with my mobile phone of the moment, a Samsung GT-S5620. Since late 2011, I surely have been enjoying my Nikon Coolpix P500.

Under my real name, I'm a literary translator and base my master thesis partly on the self-translation of Rêve... first chapter.

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